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#1 2014-08-12 01:48:41

loupblanck
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La vie, même irréel mérite d'être citer^^

Ces simples, ce n'est pas un livre, ce n'est pas également un Oneshot.
Ces plusieurs Oneshot^o^ Relatant l'histoire en détails ou pas^^ de mes personnage de rp que j'aime tant.

La première relatera l'histoire de mon personnage du Rp Korosu, la guilde des assassins, Aru^^ et elle se nomme..

http://auto.img.v4.skyrock.net/7999/91127999/pics/3218218839_1_4_NHlsIESY.png
Voici déjà le prologue^^

°Prologue°


"Tap, tap, tap" le bruit de pied nus marchant sur la surface métallique du couloir résonna dans la vaste salle. Levant les yeux de sur son travail inachevé, le jeune homme se retourna vers le couloir d'ou provenait le son. Les bruits de pas s'arrêtèrent, la source de ses pas s'étant arrêté a l'entré de la salle.

- Kaori, tu joues? demanda-t-il d'un ton enfantin. Le dénommé Kaori aussi surpris fut-il de voir le jeune homme venir a lui, se ressaisis en l'entendant parler. Ce n'était pas lui, son vieil ami, pas exactement. Se levant de sa chaise Kaori vint ébouriffer les cheveux blanc de l'enfant, un sourire fraternel sur les lèvres.

- Je suis trop fatiguer pour, désolé, l'enfant bouda avant de vite changer d'attitude, je peux dormir avec toi? demanda-t-il en vrillant son vif regard rouge sur Kaori, Bien sur, répondit se dernier. Le gamin, qui avait agripper sa chemise la lâcha avant de filer vers un lit a l'écart de la pièce.
Kaori le regarda de loin. Cheveux court blanc, iris rouge, Aru n'était pas un enfant ordinaire, ses cheveux n'était pas teint il était devenu ainsi, la même chose pour ses yeux rouge, mais ses preuves d'un passé trouble n'était pas la plus irréfutable ni la pire de ses preuves. Les yeux jaune de Kaori s'assombrirent un court instant.

Aru désormais assis sur le lit de Kaori, l'attendait. Il avait enlever ses vêtements, gardant que son caleçon, dévoilant un corps a la fois musclé, mais élancé. Le gamin, qui commençait a se demander pourquoi il tardait tant eu un air perplexe donnant alors a Aru toute l'apparence réelle de son age, 18 ans. C'était un jeune adulte avec une mentalité d'un enfant de huit..enfin, a quelque occasion comme ce soir-la. Les autres fois il était...différent.

Kaori finit par monter sur son lit a son tour après avoir gardé lui aussi le strict nécessaire en terme de vêtements. Se glissant sous les couvertures il les tenu un instant en l'air pour laisser le temps a Aru de s'y glisser également. Ce dernier vint se coller contre Kaori.
Fatiguer de sa journée, il ne résista pas contre le sommeil qu'il l'envahit et ne chercha pas a s'y soustraire en sachant très bien que le lendemain Aru ne serait plus la.


(Alors vous trouvez comment pour un intro, bon je sais, ces très peu et sa dit pas grand chose, mais il faut bien un début a tout^^)

Dernière modification par loupblanck (2014-08-12 01:49:25)


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#2 2014-08-13 03:09:57

loupblanck
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Re: La vie, même irréel mérite d'être citer^^

Ces pas du flood! lol^o^

Journal de Viraline, Chapitre 1: Le premier pas..

Kaori se réveilla soudain en sursaut. Le souffle court, le corps recouvert d'une sueur froide. Calmement il reprit son souffle, puis calmé passa une main nonchalante dans ses cheveux court tout en lâchant un long soupirs. Comme il l'avait prémédité, Aru n'était plus la. Il ne restait de sa présence qu'un drap chiffonner.


Se levant, le jeune homme fit quelque pas dans le pièce en frissonnant, le ciment froid du sous-sol gelant ses pieds nus. S'arrêtant subitement a mis parcours de son bureau, Kaori se mordit la lèvre furieusement, avant de soudainement dans une accès de fureur attrapé les barreau d'une étagère et la procheter violemment au sol dans un vacarme assourdissant!

Kaori se laissa tomber, se retrouvant assis parmi les objets divers que détenait encore l'étagère quelque seconde auparavant. La tête entre les jambes les bras dans le vide, il resta la pendant plusieurs minute, ruminant pour une millième fois son incapacité a ramener son ami et son refus totale d'accepter sa mort. Comment faire autrement quand se dernier se promenait constamment devant vous bien vivant!


Soudain son regard tomba sur un objet. Un objet dont il avait même finit par oublier l'existence, s'étirant Kaori prit le petit livre noir avant de se replacer assis en indien. Il s'attarda un instant sur quelque tâche qui parcourait la couverture. C'était du sang, séché depuis bien longtemps. Le regard dans le vague Kaori ouvrit le petit cahier et lu a voix haute la première phrase qu'il vit.


- Le Journal de Viraline




J'ai peur, le messieurs dit que je dois pas, mais j'avais peur tout de même! Le camion est remplie de bruit effrayant et puis cher journal il y a aussi cette autre messieurs qui conduis, il n'arrête pas de regarder dans ma direction et son regard me fait peur!


Ah! Je suis méchante moi aussi, je ne t'ai pas dis qui je suis. Le messieurs, le gentil ma dit que c'était important de le faire pour que tu sache qui est ta maman. Je le trouve un peu bizarre, le messieurs, je peux pas être la maman d'un cahier, Non c'est vrai tes pas un cahier, mais un Journal, même si je comprends pas la différence. Je sais quand même pas si je peux être ta maman, hmmm. Tu vas être mon ami voila!


Bon ami journal, je me présente, je me nomme Viraline! Je suis une petite orpheline de guerre, sa veut dire que je n'ai pas de parents, parce que la guerre me les a prit. Ces se que le messieurs ma dit, je n'aime pas la guerre elle ma enlever ma maman et mon papa. Messieurs Yago est gentil, il s'occupe de moi, il dit qu'il m'emmène dans un endroit chouette ou il y aura d'autre enfant, mais je me sens un peu triste tout de même.

Le camion c'est arrêté, Yago et l'autre messieurs au méchant regard on débarquer, il mon dit d'attendre, je vais regarder par la fenêtre pour voir..Cher journal cette maison est étrange, mais très grande! Il y a trois bâtiment tout blanc et tout carré et il y a un terrain de jeu. D'ailleurs j'ai vu un petit garçons et il a vu que je le regardais et il ma sourit. J'espère que je vais pouvoir être son ami. Ah, je suis encore méchante j'oublie que tu n'as pas de yeux, il a les cheveux noir et les yeux tout bleu! Je crois qu'il doit avoir huit ans, un ans de plus que moi, enfin je crois, je suis pas une spécialiste....Yago me demande de descendre maintenant. Je n'ai plus le temps de te parler..t'écrire?  Je vais faire mon premier pas dans cette nouvelle vie, souhaite moi bonne chance ami journal^o^


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#3 2014-08-16 23:02:00

loupblanck
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Re: La vie, même irréel mérite d'être citer^^

Journal de Viraline, Chapitre 2: Le début du trio

Cher ami journal, sa fait un an depuis le jour ou j'ai écrit pour la première fois entre tes pages. Un an que je suis dans cette établissement avec Mister Yago et un an depuis que j'ai rencontré Aru. Tu te souviens de lui, je t'en ai parlé hier et tout les jours avant depuis que je l'ai rencontré. La toute première fois, je m'en souviens, (j'avoue que ses faciles puisque je peux me rappeler en te lissant, hihi^^)je te l'ai décrit comme un garçon aux cheveux noir et aux yeux bleu..et bin sa n'a pas changer par contre je m'étais trompé sur son age il est deux an plus vieux que moi. Aujourd'hui il a donc dix ans. La toute première fois que je lui ai parlé je me souviens c'était durant mon examen médical a mon entré. Il avait faussé compagnie a ses surveillant après m'avoir vu sortir du camion et avait réussi a se faufiler jusqu'a la salle d'examen. Je m'en souviens comme si c'était hier. Le sursaut qu'il m'avait fait en apparaissant tout sourire derrière ma chaise. Ces comme sa que j'ai rencontré Aru, mais tu sais quoi cher ami journal aujourd'hui un autre enfant va venir dans le centre de la même façon que moi l'année dernière.

Ne crois pas que Aru et moi soit les seul enfants, il en a beaucoup d'autre en réalité, mais en est tous diviser en groupe de trois, je ne sais pas vraiment pourquoi et de toute façon il sont tous plus vieux que moi et Aru et puis..il ont tous triste mine je trouve. Ces pour sa que je suis contente aujourd'hui d'accueillir un nouvelle ami^o^

Ah! Je dois te laisser la ami journal, Aru est arrivé on va se cacher dans la salle d'examen médicaux pour faire la même surprise aux nouveaux ou nouvelle qui sait comme avec moi l'année dernière. Souhaite moi bonne chance ami journal^^



- Aller dépêche! s'exclama Aru en agrippant mon bras. Par sa force il me souleva et me mit sur mes pieds, me tirant de mon lit ou je venais de cacher sous le matelas mon ami journal. Oui bon, sa fessait cliché je sais, mais dans la chambre qui m'avait été attribué a part un simple lit, il y avait une armoire et une porte menant a une petite salle de bain. Il n'y avait presque rien et les murs était blanc, c'était dire que c'était sobre. Pressé par Aru, je me leva donc de mon lit et me précipita a sa suite dans le corridor. Ce dernier aussi blanc que presque tout dans le centre, avait deux autre portes et une bifurcation. L'une des portes était la chambre d'Aru et l'autre inoccupé serait le nouveaux. Courant presque dans les couloirs, suivant Aru dans ses foulé, un sourire sur les lèvres, j'étais heureuse. J'avais perdu mes parents un an auparavant et a mon arrivé ici Aru était apparu dans ma vie. Le jeune en question comme si il avait deviné mes pensées, tourna son regard bleu marin sur moi, d'abord comme perplexe il me sourit et je lui sourit en retour. Aru était la personne qui m'était le plus cher.

- Tu est sur qui nous trouverons pas ici? demandais-je a Aru en tournant mon regard inquisiteur dans sa direction. Aru se tourna brièvement vers moi et voulut dire quelque chose, mais il s'arrêta brusquement et me signe de ne pas faire un bruit. La porte de la salle d'examen s'ouvrit sur deux homme qui commencèrent allumer les machines. Le jeune ne devait sans doute plus tarder, mais la les deux hommes commencèrent a parler entre eux.

- Alors est-ce qu'ils ont déjà décidé du test que ce gamin aurait? Demanda le premier homme, vêtu d'une blouse et les cheveux en pagaille, le second se tourna brièvement vers son collègue avant de se retourner vers la machine, je crus qu'il allait pas répondre, mais finalement il dit en redressant ses lunettes sur son nez. Ce qui me fit rire d'ailleurs et me gratifia d'un regard noir de la part d'Aru.

- De ce que j'en sais il semble qu'il soit déjà capable de monter et démonter un ordinateur..depuis qu'il a quatre ans, alors la réponse est évidente non, il sera dans le balistique sans doute. Je ne comprenais rien de quoi parlais ses hommes? Dans tout les cas, je fus surprise de voir un tel regard sérieux sur le visage d'Aru. C'était la première fois que je lui voyais une telle expression. Sans doute comprenait-il se que je ne comprenais pas et puis il était vrai qu'il m'avait déjà dit auparavant qu'il était ici depuis sa naissance, alors c'était évident qu'il savait plus de chose que moi sur cette endroit.
Soudain le bruit de la porte s'ouvrant a nouveaux me sortit de mes pensées. Là enfin un enfant entra dans la pièce accompagné par Mister Yago. C'était un jeune garçons..aux cheveux vert! Qu'elle originalité en plus il avait les yeux jaune et cette fois j'étais prête a parier qu'il avait seulement un an de plus que moi. Par contre son air triste, m'attrista et j'eux bientôt moi aussi envie de pleurer.

J'avais oublier que quand on était admis dans le centre c'était parce qu'on avait perdu ses parents, ce n'était jamais joyeux. A cette pensé, l'enthousiasme que j'avais ressentit jusqu'a présent en sachant qu'il y aurait un nouveaux me tortura, je me sentais injuste envers ce garçons d'avoir put souhaiter sa venu. Des larmes apparurent au coin de mes yeux. Aru voyant sa paniqua. Se qui me fit rire a travers mes larmes. Aru ne savait pas comment réagir quand je pleurais, sa le déboussolais, lui qui pourtant me montrait une assurance sans faille tout le temps. Me reprenant je lui souris pour le rassurer, il me jeta un regard, un mélange d'incertitude et de soulagement, puis soudain un cri ramena notre attention a tout deux sur se qui se passait juste a côté de la toile du chariot sous la qu'elle on était caché.

- Je veux pas! s'écria le môme en se débattant pour se défaire de la poigne de Yago qui essayait de se calmer, je veux ma maman! s'écria-t-il de nouveaux. Je me sentit craquer, moi aussi je voulais ma maman. Des larmes a nouveaux sur le bord des yeux, je me précipitas soudainement en dehors de notre cachette et me ruas sur le gamin qui me tournait le dos.

- Attend, qu'est..essaya de me prévenir Aru avant de me suivre et de sortir a son tour de la cachette a ma suite. Tant dis que tout les adultes nous regardait stupéfais et que le jeune garçons s'était tus sous la surprise je me précipita sur lui et l'emprisonna dans mes bras dans l'étreinte la plus chaleureuse que je put, celle que ma maman et mon papa me fessait tout le temps.

- Il ne sont plus la, finis-je par dire, mais moi je suis la maintenant, je ne te laisserais jamais. Sur le coup il resta muet de stupeur, puis tandis que mes mots fessait leur chemin dans son esprit il éclata en pleurs. Son nom était Kaori, ces se qu'il me dit peu après tandis que les autre messieurs et Mister Yago l'examinait. Vu mon interventions bénéfique, Mister Yago avait décider de remettre notre punition a plus tard pour qu'on reste avec Kaori pour le réconforter, mais étrangement Aru me dit une drôle de phrase après que Yago se soit éloigner de nous, comme quoi on ne serait pas les plus sévèrement puni, en suivant son regard, je vis qu'il regardait le messieurs a lunette et son collègue débraillé. Il semblait tout les deux très nerveux, mais sur le coup je ne compris pas pourquoi, par contre dans les jours et même les mois qui suivirent l'arrivé de Kaori je ne les ais jamais revus.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

- Aller Aru on va perdre si tu te dépêche pas, s'exclama Kaori, aussitôt comme si s'était moi qui avait été offusquer je répliquais.

- Qu'est-ce que tu raconte Kaori on ne perdra jamais voyons donc! m'écriais-je avant d'éclater de rire en voyant l'air de défi que prit Aru avant de foncer comme un missile sur le ballon.

- Tu va voir ce que tu va voir! s'exclama-t-il avant de botter le ballon qui fonça comme une flèche vers le but adverse. Il allait entrer, ouuuiiiii...et non, le ballon percuta la barre du but et comme un boomerang, rebondit pour aller s'écraser en plein dans face d'Aru qui s'étala de tout son long sur le coup. Il ne l'avait décidément pas vu venir celle-la.

- Aru! m'écriais-je en fonçant a ses côtés, Kaori en fit de même et bien vite les autres jeunes qui jouait contre nous, une autre équipe de trois, vinrent aussi. Inquiet je prit son visage entre mes mains et épelais son nom a mainte reprise. Finalement il rouvrit les yeux et écarquilla les yeux en nous voyant.

- Tu veux m'embrasser ou quoi? dit-il soudainement, sur le coup mon cerveaux flancha, puis je du devenir rouge comme une tomate, car Kaori m'en fit la judicieuse remarque. Je leur souris, les deux garçons me regardèrent perplexe, il savait que je n'étais pas du genre a laissé couler, même si j'avais onze et que j'avais toujours été plus mature qu'eux, il savait que je réagissais au quart de tour. Il avait raison d'être perplexe. Prenant subitement la tête de chacun, je fracassa brusquement la tête de ces deux nigaud l'une contre l'autre, sa leur apprendras, pensais-je en me relevant. Les voires se plaindre de la douleur et gémir, me fit sourire, mais mon sourire disparut d'un coup. Un instructeur venait de m'appeler. Brusquement tout le monde cessa de sourire et devint sérieux. Encore un de ses teste a la noix. Ce n'était rien. Du moins sa l'était pour moi, mais pourquoi tout le monde affichait des tronches pareille, même Kaori semblait perplexe, par contre Aru avait le même visage sérieux que le trio qui était d'au moins quatre ans plus vieux que nous.

- Allons arrêter d'afficher des tronches pareille, il y a pas mort d'homme, m'exclamais-je. Le visage que fit alors Aru me marqua. Il avait réagis comme si quelqu'un venait de révélé un de ses secrets qu'il défendait si jalousement. Un air beaucoup trop sérieux alors que ce n'était qu'une stupide blague. Finalement je suivis l'instructeurs sans jeter un regard derrière moi. Au son que j'entendis, je devina essaiment que Kaori se prenait encore le bec avec Aru comme des mômes. Se son familier me remonta un peu le morale.


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