[Je remonte mes posts et je réponds à Freya demain, ça me fait mal au coeur de voir ce RPG génial couler :S]



Si Tobias n'avait aucune envie, et surtout n'était pas assez lâche pour ça, de tuer Renka, le contraire s'avérait-il vrai? Quand bien même que Renka lui fasse entièrement confiance, il était le seul garant du sort du jeune homme. C'était à lui que revenaient les décisions d'offrir une belle vie à son animal ou de le renvoyer, si il se lassait de lui. Peut-être même pourrait-il le tuer, en disant qu'il avait voulu sans prendre à lui? Le jeune homme étant déjà un meurtrier, les autorités se moqueraient bien de savoir si ce fait était réel ou non et se dépêcherait de l'éxécuter publiquement, comme ils en avaient envie depuis neuf ans maintenant. Si jamais l'ami du chef des Blondies décidait de l'envoyer dans un des bordels sombres de Cérès où l'Animal verrait défiler ses jours avec lenteur avant que quelqu'un ne décide de mettre fin à sa vie d'esclave, il en avait le droit. C'était le sort général des Animaux, une fois que leurs maîtres s'étaient lassés d'eux, notamment lorsqu'ils étaient pleinement adultes, comme Tobias qui était âgé de ving et trois ans. D'autres éléments contribuaient également au fait que le jeune homme ne pourrait jamais accorder sa pleine confiance à son nouveau Maître. Jamais aucun citoyen d'Eos, si ce n'est celui qui l'avait aidé à s'échapper, n'avait été particulièrement agréable avec lui. Si il n'avait connu que l'Elite et les Blondies, il en avait assez vu pour savoir que la plupart d'entre eux se fichaient bien du sort des bâtards de Cérès ou même de leurs Animaux tant qu'ils avaient leur vie remplie de loisirs et de plaisirs. Après tout, Tobias n'avait-il pas été l'Animal favori de l'ancien chef des Blondies, avant qu'il ne le tue? Il avait subi cette existence pendant près de quatre ans et savait comment ça se passait. Même si Renka apparaissait comme profondément différent de ce qu'il avait pu voir durant son séjour à Eos, le noble avait vécu ici toute sa vie: il était donc normal que certains "habitudes" de certains soient entrées dans ses moeurs.

Enfin, le jeune homme se plaça devant la longue baie vitrée qui bordait tout le salon de son nouveau maître, et posa avec douceur une main sur la vitre. Déjà la nostalgie de la vie pauvre, mais libre et parfois heureuse, des quartiers sombres de Cérès l'envahissait; ses amis lui manqueraient, probablement tout le long de la vie qu'il passerait à Eos. Bien que la plupart d'entre eux n'aient strictement aucune idée sur le passé d'Animal de Tobias, ils l'avaient accueillit sans préjugés dans leurs rangs et l'avaient aidé à se forger une réputation solide dans les quartiers. Son coeur se serra à cette pensée: il n'y avait pas grand chose qui le rattachait à la vie, et il venait d'en être séparés.

Entendant la voix de son nouveau maître, il se tourna alors vers lui. Celui acceptait de lui laisser les maigres libertés qui lui étaient autorisées, si ce n'est celle de fumer. D'abord irrité, Tobias fronça les sourcils. Voilà neuf ans de cela, il s'agissait de la seule liberté qu'Eddark lui avait autorisé. Chaque soir, avant que son maître ne rentre de ses préoccupations journalières, un domestique lui avait apporté un paquet de cigarettes, bien qu'il n'ait que quatorze ans à l'époque. L'adolescent qu'il était alors avait sauté sur cette occasion de pouvoir s'octroyer quelques minutes de libertés sur le balcon de l'appartement le plus haut de tout Osiris. Il y avait probablement des produits chimiques visant à le calmer durant leurs ébats tardifs dans ces cigarettes, mais il s'en moquait. Alors qu'il en fumait une, il oubliait progressivement tout ce qui l'entourait.
- Et bien, merci. Pour fumer, ne t'inquiète pas, si j'en trouve, je ne les fumerais pas ici. Je ne suis pas stupide., dit-il d'une voix calme, avec un léger sourire conciliant.

Voyant son maître s'approcher dans son fauteuil roulant avec un pantalon, le jeune homme ne put s'empêcher de rire un peu. Il y a presque une dizaine d'années de cela, il était obligé de porter de tels vêtements noirs et moulants, fabriqués et cousus de sorte à ne rien cacher des courbes du jeune Animal. Son maître, après tout, appréciait d'exhiber l'adolescent lors des soirées régulières qu'il organisait. Sa garde-robe n'était alors composé que de ces strings indécents ou de cuir noir qui ne laissaient guère d'imagination sur les envies d'Eddark.
- Sans vouloir te vexer, je crains que même ce vêtement ne soit plus à ma taille. J'avais quatorze ans à l'époque, et aucun muscle ou presque. J'avais déjà du mal à rentrer dedans lorsque je devais le mettre, alors aujourd'hui... Les médecins ne t'ont pas redonné les vêtements que j'avais lorsque tu m'as enlevé? N'y a-t-il pas eu une perquisition de mon appartement?, dit-il avec un léger ton amusé dans la voix.

Tobias paraissait presque joyeux, à l'entendre parler ainsi à son ravisseur et son sauveur. Que Renka ne s'y trompe pas, ce n'était pas réellement le cas. Le jeune homme savait simplement que plus il faciliterait la vie à son maître, plus celui-ci en ferait de même. A en voir comment il était, il était persuadé que si il se montrait bien trop triste, jamais son maître ne le lâcherait. Autant dire que ce n'était pas ce dont il avait envie.

Se détournant du superbe coucher de soleil qui iluminait la baie vitrée de l'appartement de Renka, il se dirigea vers le canapé. Tobias ignora les derniers mots de son maître, avant de reprendre la parole d'un ton calme.
- Renka... Tout ce que je te demande, c'est de respecter ta promesse d'envoyer des médicaments aux Bas-Fonds. Chaque jour, il y en a qui meurent dans d'atroces souffrances, alors même si ce n'est que de la morphine, aide-les.

Posant ses mains sur ses genoux, il inspira profondément.
- Tu crois que je pourrais obtenir une audience avec Charles? Avec la sécurité qu'il faut et même des menottes si ils le veulent. J'aimerai vraiment lui parler., le questionna-t-il.




[J'ai trop peur de dénaturer le perso! Mais c'est vrai que c'est un super exercice et un super défi de reprendre Riki o/ ]

Riki vint se poster aux côtés de Charles lorsque celui-ci prit la parole. Il était heureux d'avoir pu revoir sa cousine, et que sa visite lui ait facilité ses conditions de vie. C'était beaucoup mieux ainsi, au diable de faire rager Lyra, après tout! Sentant le bras fort et puissant du Blondie l'attirer à lui, le bâtard de Cérès hocha simplement la tête lorsqu'il lui annonça qu'ils devaient partir. Même si Riki ne s'exprimait pas maintenant, son regard noir ardent témoignait de la gratitude qu'il avait envers Charles de lui avoir permit de revoir Hana.
- A plus tard, Hana, dit-il simplement, avec un léger sourire, n'oublie pas ce que je t'aie dit.

Ses pas emboîtèrent alors ceux du Blondie qui quittait déjà la cellule où était enfermée sa cousine, et passa la porte après l'avoir regardée une dernière fois. Relativement, il n'avait pas à se plaindre de sa propre situation. Elle aurait été bien pire si Lyra avait été sa maîtresse. Au moins, Charles, même si il l'avait puni, n'était pas foncièrement méchant, contrairement à sa soeur. Lorsqu'ils furent seuls, le jeune homme reprit la parole.
- Merci de tout ce que tu as fait pour Hana, dit-il simplement.



Ses grandes prunelles aux sombres couleurs chocolats dévisagèrent Raphaël quand celui-ci reprit la parole. Sa voix était calme et posée, comme si cette situation était régulière dans cette pièce. Ce qui ne devait probablement pas être le cas. Etait-ce son rôle de Blondie et chef de secteur qui lui imposait d'être si serein? Ou peut-être choisissait-il de ne pas s'énerver pour désarçonner Sarah? C'était probablement le cas, et il fallait avouer que cela marchait bien sur la jeune femme. Cette lueur inquiète qui avait envahi ses yeux depuis qu'elle s'était retrouvée assise ainsi sur cette chaise ne l'avait pas quittée.
- Me donner une raison de bien vouloir te croire lorsque tu dis que tu ne me frapperas pas?, répliqua-t-elle d'une voix, qui malgré quelques tremblements, se voulait calme, à l'image de celle de son interlocuteur.
Le sourire de ce dernier se faisait narquois, presque moqueur. Prenait-il du plaisir à la voir ainsi sur cette chaise, visiblement inquiète de la tournure que prenait la situation? Probablement: ce sourire ne semblait pas vouloir quitter ses lèvres alors que de nouveau il prenait la parole.

Ne le quittant pas des yeux, la jeune femme l'observa tandis qu'il lui parlait. Indéniablement, ses vêtements tâchés lui faisaient plaisir à voir, comme il en avait été des regards offusqués qu'avait reçu Raphaël au Marché des Animaux. Ce n'avait été qu'une petite victoire, qu'elle paierait sans doute, mais celle-ci lui apportait une certaine satisfaction, qu'elle n'aurait probablement plus maintenant qu'elle se retrouvait enfermée dans les appartements de son nouveaux "Maître". Cependant, et bien qu'elle ne l'admettrait jamais, le Blondie était beau et sans doute l'un des plus beaux hommes qu'elle avait pu voir durant sa vie. Tous savaient qu'il s'agissait d'un don des Blondies, mais cela serait un mensonge de nier la vérité. Raphaël portait des traits fins mais masculins, qui lui donnaient une certaine élégance dans ses expressions. Ses yeux aux couleurs indéfinissables semblaient transpercer ceux de la jeune Animal, comme si il avait vécu un milliard d'années auparavant. Il s'avérait également particulièrement grand et imposant, même pour un Blondie: lorsqu'elle se trouvait debout à côté de lui, Sarah parviendrait surement avec peine, à la moitié de son bras entre le cou et l'épaule. La jeune femme était chétive et tenait davantage de la fillette que d'une véritable femme, mais elle ne doutait pas que la plupart des Animaux s'avéraient petits lorsqu'ils se retrouvaient à ses côtés. Chassant rapidement ces pensées de sa tête, elle reprit à son tour la parole.
- Je ne suis pas idiote, tu m'aurais de toute façon obligée à m'asseoir sur cette chaise., lâcha-t-elle d'une voix très légèrement plus assurée qu'auparavant.

Son Maître s'installa alors face à elle, ayant fait apparaître une chaise en claquant des doigts. Haussant un sourcil étonné face à cette "apparition", Sarah se recroquevilla davantage sur sa propre chaise lorsqu'il s'assit, proche d'elle. De ses bras, elle ramena ses genoux davantage sous son menton, sans toutefois baisser les yeux devant lui.
- Tu aurais bien pu te changer, cela n'aurait rien changé. Il n'empêche que j'apprécie quand même te voir ainsi: c'est un spectacle qui ne doit pas manquer d'originalité., réprit-elle.
La jeune femme savait qu'en disant ses mots, elle le provoquait volontairement. Fichtre! Une provocation supplémentaire ne changerait probablement pas son avis sur elle. Qu'importait alors? Raphaël planta alors véritablement son regard dans le sien. Elle essaya tant bien que mal de le soutenir mais un problème se posait: le Blondie imposait le respect par sa carrure et son regard. Qui n'aurait pas eu l'irrésistible envie de baisser les yeux face à lui, comme à n'importe quel membre du Gouvernement?
- Je ne sais pas pourquoi tu décides d'agir ainsi, vraiment. Pourquoi me poses-tu la question, puisque je n'ai rien à dire?
Elle prit une inspiration avant de répondre.
- Je vois mal également comment je pourrais me sentir détendue ici. Tu vois comme moi que cette pièce n'a rien de rassurant et je pense très sérieusement que ça doit te plaire. Donc, non, vraiment même si tu promets de ne pas me faire souffrir, j'ai du mal à te faire confiance, ce qui, en soit, est plutôt normal, à vrai dire.

Alors que son Maître faisait glisser l'une de ses longues mèches derrière son épaule, Sarah ne quitta pas son regard. Comme elle le pensait, cet homme était fou: comment pouvait-il la trouver belle après tout ce qu'elle lui avait fait depuis qu'ils s'étaient rencontrés aux Halles des Enchères et qu'il l'avait acheté? Elle en fut flattée, cependant: qu'un Blondie lui annonce qu'elle était une belle femme méritait d'être apprécié. Malgré toute la haine et la colère qu'elle pouvait vouer à cette caste supérieure, il n'empêchait qu'ils forçaient le respect, Raphaël y compris. Glissant timidement sa propre main dans ses bouclettes brunes, elle reprit la parole.
-Je ne me donnerai pas à toi, tu l'as sans doute bien compris. Il n'y a donc pas lieu d'en parler.

Ses mains glissèrent de manière assez nerveuse sur ses jambres. Raphaël avait plutôt raison: Sarah avait tout d'un animal effarouché et prit au piège. Bien qu'elle le provoque, elle n'en était pas moins terrorisée - ce qu'elle essayait tant bien que mal de cacher - et cela se voyait probablement par son attitude et sa position, recroquevillée sur elle-même.
Ses yeux bruns s'agrandirent de surprise lorsque son maître lui demanda de lui raconter son histoire. Etait-ce donc cela la punition qu'il lui avait choisi? Silencieuse, la jeune femme l'observa quelques instants. Pendant ce court laps de temps, il lui expliqua qu'il le saurait si elle se mettait à mentir ou qu'elle ne lui cache de trop gros détails. Son attitude semblait sérieuse. Devrait-elle lui raconter ainsi toute sa vie? Sarah savait qu'elle serait incapable de parler de Jamin à son Maître. Du moins pas maintenant. Penser à son peti frère la faisait énormément souffrir: voilà bientôt sept ans qu'elle ne l'avait pas vu. Elle était âgée de douze ans à l'époque, tandis qu'il venait de "fêter" ses neuf ans sur un gâteau de fortune pour lequel tous les Animaux de l'élevage s'était mobilisé. Quelques jours plus tard, il avait été vendu à prix d'or à un marchand étranger et elle ne l'avait jamais revu. Sans doute était-il devenu un homme maintenant? Avait-il gardé ses splendides petites joues rondelettes, ses cheveux bruns bouclés et ses adorables fossettes? Chassant ses pensées de sa tête, Sarah finit par acquiécer.
- Bien... Je vais te raconter..., dit-elle d'une voix hésitante.
La jeune femme savait que si jamais elle refusait de lui dire quoique ce soit, Raphaël ferait des recherches à ce propos. Il découvrirait rapidement Jamin, bien que celui-ci ne soit pas marqué sur la fiche descriptive de l'Animal, et pourrait s'en servir contre elle. Il fallait éviter ça!
- Je... J'habitait dans les quartiers Ouest de la ville, avant. Mes parents détenaient une petite boutique de bibelots anciens où venaient parfois certains nobles. Quelques temps après l'assassinat de Sir Eddark, il y a commencé à y avoir des émeutes dans le quartier... Il a brûlé lorsque j'avais dix ans, je crois... Mes parents et ma grande soeur y sont mort par asphyxie, mais j'ai pu en échapper, bien que je ne m'en souvienne pas. J'ai vécu quelques mois dans les Rues avant que Mr. Am, mon éleveur, ne me recueille lorsque j'avais douze ans. J'ai ensuite passé sept ans à l'élevage et voilà..., reprit-elle d'une voix hésitante.
Si la jeune femme n'avait pas parlé de Jamin pour le protéger, elle avait parlé de ses parents et de sa grande soeur. C'était douloureux pour elle, bien sur, mais certainement beaucoup moins que de dévoiler l'existence de son frère.



Sa navette volante, blanche aux lignes épurées, se posa quelques minutes plus tard sur la passerelle de son garage. Mathieu l'avança alors un peu pour la garer comme il le fallait et en sortit, de manière gracieuse après quelques instants. Un seul regard au capteur de la porte d'entrée lui annonça que quelqu'un, ou plutôt deux personnes, l'attendaient dans son salon. Haussant les épaules, il se soumit donc aux tests habituels de vérification d'identité, avant de pénétrer dans ses appartements. Après quelques pas, le noble arriva dans le séjour, où deux hommes étaient assis sur son canapé. Silencieux, il s'approcha et les détailla: l'un d'eux portait un uniforme militaire, tandis que l'autre semblait appartenir au service de recherche médicinale d'Osiris, au vu de sa blouse blanche et de son air sérieux. Ces derniers se retournèrent alors vers lui. Les saluant d'un signe de la tête, le jeune homme les questionna sur leur venue.
- Nous avons reçu les résultats des tests médicaux qu'ont eut vos nouvelles acquisition, Noelya et Gaëlle. La jeune Neko doit venir avec nous, elle souffre de graves problèmes de santé qui doivent être traités au plus vite, afin de ne pas se propager à tous les Animaux. Elle ne peut plus vous appartenir désormais. Nos hommes sont déjà allés la chercher et elle est en route pour les quarties scientifiques. Notre venue n'avait pour seul but que de vous informer, Sire Mathieu., dit alors le scientifique d'une voix sans expression.

Mathieu sut qu'il ne pourrait pas empêcher ce groupe de scientifiques de prendre sa jeune Animal. Qu'allaient-ils lui faire? Même si il avait pu paraître cruel, il l'aimait bien, vraiment, comme tout Maître devait aimer ses Animaux. Il hocha alors simplement la tête, sans un mot, alors que ses visiteurs quittaient son appartement. S'asseyant sur son canapé, le noble prit sa tête entre ses mains. Comment allait réagir Gaëlle? Pourrait-il faire en sorte que les deux amies puissent se retrouver un jour? En soupirant, il prit l'un de ses tablettes et envoya un message à Lyra.

Ils viennent de me prendre Noelya...

, lui écrit-il d'une main hésitante.

Un cri traversa alors l'appartement. D'un bond, Mathieu fut sur ses deux pieds et accourut alors à la chambre de Gaëlle. Celle-ci venait de frapper la vitre de sa chambre lorsqu'il arriva. S'approchant d'un pas hésitant, Mathieu vint poser sa main sur l'épaule de son Animal.
- Je suis désolé, Gaëlle...

Dernière modification par transparente (2014-04-30 23:44:21)

[D'accord! Bonne chance à toutes les deux alors ♥]

Coucou... Premièrement, je voudrais dire que je suis vraiment, vraiment, vraiment désoler de le dire que maintenant, mais j'avais Omis de le mettre en marque page et je les perdu de vu. (Je sais c'est pas très fort de ma part....   ) Je n'est jamais réussi à intégrer mon personnage, à l'histoire ou bien avec quelqu'un, donc je préfère me désinscrire

Je suis désoler

C'est une option que je pourrais peut-être envisager si je ferme Code of honor et si je prend Idriss.... je vais réfléchir

Dernière modification par diablo007 (2014-05-25 01:38:19)

hahaha oui justement en parlant de soul eater.... j'ignore si... bref

Ben j'ignore si je fais reprendre tenza ou je reste Zangetsu, mais c'est que j'ai une idée dans la tête, mais j'ignore si sa peut marcher

Impossible je ne peut pas te la dire... c'est pour venger mon Septsouku

Hihi attache bien ta ceinture mon Will

Pensi, si tu veux toujours que je reprenne Fall, il n'y a pas de soucis !
(J'ai vraiment pas envie que RPG coule T.T)

Si c'est bon, je tenterai de retravailler un peu son formulaire et j'enverrais un message à Louve pour savoir ce qu'est exactement son personnage! :3

Moi non plus je veux pas qu'il coule ! /toi, tais toi, tu l'as lâchement abandonné!\

Baaah... J'y réfléchis encore, mais si je reviens ça sera seulement pour reprendre Lyra et Riki... .-.
Et pas les autres... Mais, je suis encore en discussion avec moi même T__T /ça se fait pas de revenir comme ça! Sale Citron! Tu vas être puni!\

[Voilà le formulaire de Fall ! :3

Pseudo : Transparente
Prénom & nom : Plus connu sous le surnom de Fall, sa véritable identité doit rester cachée et ne sera dévoilée que beaucoup plus tard.
Sexe : Masculin
Âge (16+) : 17 ans
Rang social : Habitants des bas-fonds
Caractère : Plus encore que sa physionomie, le caractère de Fall est indomptable. En effet, le jeune homme était et restera toute sa vie durant un individu qui se veut indépendant de tous, ce qui l'amène parfois à se révéler sauvage. Dans ce cas-là, on pourrait appeler cela de l'instinct de survie en vérité. Il ne supporte pas se sentir sous le joug de quelqu'un, qui que ce soit, et pire encore se sentir manipuler. Il n'est pas un jouet avec lequel on s'amuse, enfin! En tant qu'ancien chef d'un gang particulièrement puissant dans les Bas Fonds, il régnait en tant que Roi Suprème sur une grande partie de ces quartiers mal-famés. Fall est donc particulièrement fier et parfois orgueilleux, même si sa situation n'est plus aussi enviable qu'auparavant. Il en ressort une profonde aversion pour toute cette population aisée d'Osiris.
Histoire : Fall a toujours vécu dans les bas-fonds, cotoyant cette communauté pour le moins... chaleureuse et luxueuse, si on peut dire. D'aussi loin qu'il se souvienne, il a toujours participé à cette guerre pour la nourriture et un peu plus de confort. A ses quatorze ans, son père s'est fait fusillé alors que déjà il n'avait plus sa mère, morte il y a déjà longtemps. C'est à ce moment-là qu'il entra dans un groupe de la résistance. Le voilà aujourd'hui, à dix sept-ans, prisonnier d'Osiris, comme "danger face à l'Etat", qui croupit dans l'une des pires prisons de la capitale après s'être fait prendre il y a quelques semaines.
Maître ou Animal ? : Animal sans aucune volonté de l'être.
Image :
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Autre : /
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