Julietta malgré son innocence et sa naïveté , elle savait que son majordome avait fait des choses qu'elle même considererait comme impardonnable . Mais pourtant aussi stupide que cela pouvait-être , elle espérait que ces quelques mois avec elle pourrait l'alléger des prochaines années à venir quand elle ne serait plus là . Julietta savait pourtant que les mois pour lui n'était que de petites secondes mais c'était plus fort qu'elle . Elle souhaitait le bonheur de Roméo plus que quiconque . Quelque chose que l'on ne souhaiterait pas à son majordome , mais pourtant elle ne savait pas pourquoi mais quelques fois elle voulait juste soigner son coeur pourtant elle ne connaissait rien à sa douleur , elle était bien trop innocente et jeune , un enfant , un nourisson pour lui et elle devait l'admettre elle ne savait rien de ce monde . Mais pourtant quand il parlait quelques fois de lui , ce n'etait que quelques malheureuses phrases mais elle avait envie de lui dire que tout irait bien .

Mais elle se contenta de baisser les yeux . Son regard sur ses propres mains à présent ´ ses petites mains ne pourrait jamais partager le fardeau de Roméo . Et comme l'enfant qu'elle était , elle ne pouvait rien faire

- Alors je prierai pour que tu vives longtemps Roméo et à l'abris des vilains maitres que tu passes de maitre et maitresse aussi doux les un que les autres et qui seront te traiter avec un tant soit peu d'égard . Mais n'oublie pas que je suis ton ami quand je mourrais .

Puis on parla des livres . Elle aimait lire , elle n'avait fait que ça en italie à cause de sa santé mais elle préferait voyager à présent .

- Tu as raison . Mais mon moyen de transport preferé reste le bateau , l'imagination des autres est un beau moyen de transport mais ... J'aime être ici avec toi et l'air de la mer non loin . Le bruit des roues , les chevaux qui henissent . C'est magique

( Je saute pour arriver jusqu'à Paris )

Julietta apprécia son voyage en calèche et tenta de ne pas s'endormir mais ce fut plus fort qu'elle , elle devint assez vite somnolente . Mais dès qu'elle sentit que cette dernière s'arrêta , elle se réveilla . Julietta laissa tout le monde décharger leurs affaire . De toute façon sa famille avait aussi un autre appartement non loin , elle laisserait ses serviteurs y dormir ce soir . Elle sortit de la calèche , arrangea ses cheveux puis se dirigea vers l'appartement . Assez vite , elle se trouva en face de la porte où elle savait que sa mère était .

Julietta appuya sur la poignée de la porte. Et c'est sa mère qui se tourna vers elle en ne manquant pas de tomber et de se cogner . Julietta ne supportait pas que sa mère sois aussi maladroite . Premièrement , elle se faisait mal et les hématomes étaient bien laids et secondement , Roméo ne cessait de sauver cette derniere et de l'aider et il se retrouvait monopoliser et elle ne pouvait plus lui parler sans qu'il ne doive rattraper sa mère , la sermonner puis la relever et la soigner . Julietta pourtant semblait si proche de son caractère mais elle au moins faisaient des efforts alors que sa mère se complaisait dans son inattention et sa maladresse

Julietta laissa donc sa génitrice ne cesser de la prendre dans ses bras , de la regarder , de lui tirer les joues , de passer ses mains dans ses cheveux et de lui parler si bien que Julietta à force d'être secouée finit par se sentir malade . Bien évidement , l'italien était de rigueur en famille

- Je vais bien mère et votre voyage ? Et Paris ? Ou est père ? Pourquoi vous a t-il laissé seul ?

Mais sa mère ne repondu pas et s'empressa de chercher Roméo  et dès qu'elle le vit , elle le dorlotta à son tour comme un enfant et Julietta ne put s'empêcher de s'interposer en prenant Roméo dans ses bras avant que sa mère ne le fasse

- Mère , il va bien . Il est grand , ne lui tirez pas les joues et il est plus mature que vous . Laissez-le , il est à moi , il est mon ami et je sais que vous l'aimez beaucoup mais un jeune homme de son âge ne doit pas se faire dorloter

La mère recula , se plaignant alors que les enfants grandissaient si vite que Julietta et Roméo cherchaient à la mettre dans un hospice mais après sa comédie , elle finit par répondre tout en se plaignant de son sort mais Julietta n'écouta que les informations importante tout en laissant une distance de sécurité entre sa mère et son majordome

Elle apprit donc que son père était malade et en Italie et que sa mère reparti et n'était venu que pour quelques robes et quelques cadeaux à trouver pour l'anniversaire de Julietta qui aurait bientot 16 ans et elle lui fit alors un sermon sur le fait qu'à 16 ans elle était déjà une cantatrice et qu'elle avait aussi le profil de la parfaite épouse , qu'elle avait des demandes pour être princesse d'elle ne savait quel pays

Julietta était habillé en duchesse , longue robe avec une traine , brodé aux fils d'or , melé avec du rouge et du blanc , les couleurs qui lui allait mieux . Elle avait une petite couronne suivi d'un petit voile qui couvrait ses cheveux . Sa mère ne fit aucune remarque satisfaite de la voir ainsi habillé . Parcontre quand sa fille l'empêcha de dorloter Roméo , elle bouda un instant mais Julietta n'en démordu pas

- Je ne la laisserai pas te monopoliser et ensuite te fatiguer . Ça commence toujours comme ça , cette fois ci , je te protégerai

Chuchota t-elle . Puisque quand Julietta et sa mère étaient avecRoméo , c'était la double dose du travail . Julietta lacha Roméo pous finalement faire face à sa mère . Roméo tenta de l'aider à convaincre sa mère mais la mère secoua negativement la tête . Elle s'assit dans une chaise , leur donnant dos pour regarder Paris

- À son âge j'étais marié . Pour une jeune fille de son rang , il est temps . Elle pourrait devenir princesse de savoie ou encore du portugal . Elle pourra voir du pays , une fois marié . Le portugal est merveilleux et tu pourras porter un enfant et avoir un héritier pour notre famille . Son père est malade , elle doit comprendre que deux femmes ne pourront pas diriger la famille et la faire survivre . Vous devez comprendre .

- Mère je vous prie , deux années ne changerait rien

- Seras-tu encore vivante dans deux années ? Garantit-le moi . Tu es aussi malade que ton père . Dis-moi , que tu ira bien , dis-moi que tu vas bien . Tu crois que je ne préfererai pas te voir heureuse Julietta ? J'aimerai que tu es le temps de faire ton deuil ... Mais nous n'avons plus le temps .

Julietta regarda au sol " Je vous prie de m'excuser mère , je vais dans mes appartements " elle se dirigea vers la partie de l'appartement qui lui appartenait . Après tout cet endroit était aussi grand qu'un de leurs manoirs .

La mère ne pouvait céder . Il fallait bien une descendance à l'une des familles les plus puissante d'italie . Il fallait que Julietta comprenne que son père n'irait pas de mieux en mieux , elle devait le comprendre elle . Elle qui était aussi malade que son père . Quand sa fille alla dans sa chambre , elle se sentit coupable . Elle savait qu'à cette période aussi de sa vie , elle avait été perdu mais par chance elle était tombé amoureuse de son fiancé . La jeune femme comprenait aussi l'envie de voir le monde mais Julietta devait comprendre . Son père était de faible constitution malgré ses 35 ans , il mourrait jeune et ils se devaient d'avoir de multiples héritiers

Roméo vint la rassurer qu'après deux ans de voyage , Julietta serait prête à devenir une princesse . Elle soupira . Sa main sur son coeur , elle voulait qu'elle soit heureuse mais ce n'était pas qu'elle

- Son père lui en reparlera .

Julietta regardait par la fenêtre , elle regarda la vue mais aussi bien ce monde , si normale qui lui était inaccessible . Son voile virevoltait légèrement au vent . Ce qu'elle voulait voir c'était le monde , la personne qu'elle voulait était Hadrian , pas un royaume à diriger . Elle essuya quelques larmes qui roulaient encore sur ces joues . Mais qu'aurait-elle fait si Hadrian était là , elle se serait marié mais après . Elle aurait vécu d'amour mais n'aurait jamais pu voyager et durant un moment , elle du réaliser qu'elle avait bien plus soif du monde que d'amour et elle regarda la bague de fiancaille qui était accroché à son collier.

Elle ne voulait pas tourner la page .

- Accrochez vous Hadrian ... Je ne veux pas vous oublier

Julietta sentit doucement le mouchoir essuyer ses larmes , elle regarda Roméo quand il lui dit qu'une duchesse ne pleurait pas . Et elle tenta de cesser de pleurer , elle détacha alors le collier qu'elle avait autour du cou puis serra le collier et la bague dans sa main . La jeune duchesse regarda alors Roméo

- Désolé , il est vrai qu'une duchesse ne pleurs pas et surtout pas une future princesse . Quand nous serons en italie , nous irons trouver le futur roi de savoie mais aussi celui du portugal . Je proposerai à tout deux de m'attendre jusqu'à la fin de mon voyage . Si l'un d'eux accepte , je me marierai dans la semaine à suivre puis nous partirons ensuite .

Elle supposait qu'elle devait le faire . Elle regarda la bague dans sa main " Je vais devoir me marier avec une autre personne qu'Hadrian . C'est ainsi , j'imagine " puis elle posa la bague sur la table au millieu de la pièce

-Et si aucun n'est pret à se marier puis attendre , nous partirons .

Elle enleva son voile avec sa petite couronne

Julietta ne savait pas ce qui se passerait lors de la nuit de noces . Elle n'osait imaginer le fait de se marier . Alors ce qui pouvait bien se passer cette nuit là . Elle posa doucement son voila , la bague aussi où il était incrusté à l'intérieur " I love you , milady" et elle se tourna vers lui

- Je suis fatiguée , c'est vrai .

Admit-elle , sa tête tournait encore un peu . L'agitation et le stress et se penser marié dans à peine quelques jours . Julietta sourit alors avec tendresse à Roméo . Il avait raison Hadrian voudrait de cela pour elle

- Merci mais bientôt tu ne m'appelera plus signorita , c'est bizarre . Il va falloir que je me prépare pour le bal avec Marc , alors je vais juste me débarasser de mon voile ... Mais ma mère ne me permettra pas de sortir sans cette robe .

Puis elle repensa au mariage " Penses-tu qu'un des deux princes m'attendra ? J'ai un peu peur de devoir me marier sans vraiment connaitre l'un des deux "

Julietta aait beau être fatigué , elle ne pourrait se reposer avant la soirée de Marc et ceux malgré sa fatigue . Elle dormirait un peu mieux le lendemain et irait visiter Paris , en esperant que sa mère ne la trainerait pas pour voir un roi ou un prince ou un duc . Elle sourit

- Je le ferais plus tard .

Julietta préferait ne pas se faire appeler signora , elle regarda alors Roméo et sourit . Elle aimait bien le princesse , mais elle n'en dit rien . Puis elle le regarda dans les yeux

- Merci Roméo , je ne veux pas être appelé signora alors trouve le surnom qui m'ira le mieux . Et n'oublions pas aussi que malgré tout cela nous devons trouver notre traitre avant d'arriver en italie .

Julietta supposait que ce n'était pas une si mauvaise idée , mais il verrait en fonction des réponses . Elle sortit de la chambre , laissant ses cheveux retomber sur ses épaules . Elle devait prévenir sa mère de sa sortie

- Mère , je sors . Je vais dans un bal .

- Un bal ? J'imagine que je ne peux t'empecher de sortir mais faites attention tout deux . Roméo , te surveillera je le sais.

- Au revoir mère .

Elle se dirigea vers la sortie

Julietta aurait préferé être partout ailleurs , c'était un bien triste début pour son voyage à Paris . Mais elle ne pouvait pas pleurer sur son sort . Elle savait que ce sacrifice serait certainement la clef pour partir autour du monde . Mais elle savait aussi qu'à son retour , on s'attendrait à comme l'avait dit sa mère , elle puisse avoir un héritier . Ce qui l'effrayait car tout lui était inconnu dans ce domaine . Mais elle pensait aussi à son pacte qui prendrait fin bientôt , elle le savait après tout .

Il fallait donc sourire . De plus , elle ne put s'empecher quand il l'appela princesse de sourire . C'était un surnom adorable qu'elle aimait bien mais bon , ce sur om allaig devenir réalité . Elle l'annoncerait plus tard à sa mère

- Pourquoi ne pas véhiculer la rumeur que je suis la fiancé ... Ce qui n'est pas tant une rumeur que je suis fiancé à un prince . Cela le poussera peut-être à agir . Après tout la pression monte en ce moment .

Elle descendu les marches laissant quelques femmes venir pour porter sa traine . Ce qui la genait toujours , elle savait que cela pouvait faire mal au dos de porter ceci . Puis elle regarda Romeo . Dans ces tenus , elle était toujours bien moins à l'aise et genée et ceux malgré le fait que les vêtements mettaient en valeur sa beauté

- Nous devons voir Marc ... Et

Bredouilla t-elle alors sous les regards des gens qui s'émervaillent et s'étonnaiengde voir une personne de son rang avec un majordome et pas une dizaine de garde . Elle se mit alors à rougir , ne sachant pas trop ce que les français disaient mais bon

- Rentrons dans une calèche

Julietta n'était pas la jeune demoiselle la plus malheureuse du monde , mais pas non plus la plus heureuse . On pouvait penser qu'être riche pouvait être une fin en sois mais elle aurait préferé donné tout son argent pour avoir en échange un père bien portant , qu'elle n'aurait pas peur de perdre , elle aurait voulu une santé de fer , elle n'aurait pas voulu voir tout ces médecins défiler dans sa chambre et lui faire des saignée ou encore lui promettre qu'elle irait mieux ou parler d'elle comme un objet de la science . Elle aurait donné son rang pour pouvoir sortir sans entendre quand on voyait sa calèche des insultes grâces car elle n'avait jamais lever le petit doigt pour gagner tout cet argent , elle aurait voulu sortir sans avoir peur de tomber trop malade , sans avoir peur qu'on la kidnappe ou qu'on veuille la tuer . Elle aurait aimé être plus qu'une rançon . Un être humain à part entière et non l'objet que tout le monde voyait en elle . Seul Hadrian avait réussi à voir plus que la duchesse en elle , il l'avait habillé en petite comtesse presque bourgeoise et lui avait montré un début du monde

- Oui , j'imagine .

Tout ses regards la firent rougir , n'étant pas habitué à sortir dans de tel habits comme ça . En principe habille ainsi , elle restait à la maison . Julietta regarda alors vers Roméo

- Mais je ne veux pas que l'on me regarda avec admiration ... Ainsi accoutré je ne peux parler à personnes . Les gens auront peur , me jugeront , ou encore les servantes de ma mère commenceront à faire un petit mur pour les séparer de moi . Comme d'habitude . Et je ne pense pas la mériter mais nous serons encore en désacord

Puis elle entra dans la calèche . Pour une fois , elle avait vraiment un peu peur de voir une personne . Elle ne haissait pas Marc mais il semblait manigancer quelque chose . Même elel le sentait

- Son bal à lieu à quelques rues . Dans les cotés chic de Paris . Je me demande à quoi tout cela va ressembler

Harry n'eut le temps de rien , il comprit assez vite après l'alourdissement de son corps que leurs deux "camarades" de soirée n'étaient rien d'autres que des fou Et utilisait des méthodes similaire à ses parents . Le brun n'eut le temps de faire un geste vers Elspeth qu'il finit par tomber dans un sommeil profond . Que se passerait-il à leurs reveils ? Lui qui avait promis à Elspeth de lui donner une journée de rêve le lendemain




Yvan entendu alors les corps des deux jeunes victimes s'écrouler sur le sol , une musique qu'il connaissait si bien . Quelques coups de pieds de la part d'Alluka , et le couple de tueur en série fut sûr que leurs deux jouets dormaient à point fermé . Il se pencha vers eux , les ramassa tout deux en jetant un regard à sa femme

- Oui , Mais Alluka il va falloir les laisser se reposer avant de jouer avec eux . On jouera demain , matin . Puis je veux vous savoir en pleine forme .

Expliqua t-il . Il était un tueur , psychopathe sur les bords mais il était aussi un époux très amoureux de sa femme et voulant la voir au sommet de sa forme , après tout sans un bon sommeil , elle ne pourrait pas avoir une aussi jolie découpe et des idées aussi incroyables .

Une fois les deux corps dans la calèche , il lui tendu la main pour la faire grimper . Un sourire aux lèvres .



Ririchyo aimait tout les sourires de Ciel , tant qu'ils n'étaient pas semblable aux faux qu'il lui avait offert assez longtemps avant d'apprendre à la connaitre . Mais celui qu'elle appréciat voir c'était ce petit sourire discret dont Ciel maitrisait l'art . Elle avait l'impression ainsi d'être la seule à le voir , mais aussi d'avoir touché ou visé un point juste dans une analyse , mais pourtant ce sourire semblait lui dire qu'il y avait encore d'autres choses à explorer . C'était le sourire parfait pour la petite analyste qu'était Ririchyo

- [/b]Parfois quelques victoires ont un goût amer , alors que quelques défaites sont au contraires bienfaitrices . Mais pour une fois , l'une de vos defaotes est l'une de mes victoires . Je vais donc me réjouir d'avoir gagné contre vous pour une fois dans ma vie . Car après tout , imaginez un futur ou vous auriez gagné . Que se serait-il passé ? Nous aurions vécus des vies sans connaitre tout ce que nous experimentons à présent .[/b]

C'est vrai que maintenant qu'elle y pensait . Comment se serait passé sa vie , si Ciel étiat resté insensible à ses quelques plaidoyer . Serait-elle entrain de tuer la personne qui avait assasiné son frère sans savoir que son frère était encore vivant et un être terrible , elle se serait donc satisfaite d'une simple vengeance et d'un peu de sang sur ses mains . Tout cela semblait être une vengeance bien vide après tout ce qu'elle avait vécu

Puis Ciel se dit doué pour la manipulation . C'est vrai qu'avant de le rencontrer , elle avait entendu quelques murs sur lui . Sur le fait qu'on ne disait jamais non au chien de la reine . Mais , elle ne s'y était pas plus penché

- Alors je me garderai donc l'analyse comme atout et vous la manipulation . Nous ferions une très bonne équipe d'enquêteur

Plaisanta t-elle , elle se voyait vraiment mal enqueté sur quelconques sujets . Elle ne l'avait jamais fait et vu qu'elle avait en horreur le sang , elle ne se verrait pas en train d'analyser une scène de crime ou un cadavre . Elle , elle aimait l'humain emplie de vie

- Oui , pour l'analyse il faut être calme . Sinon , on saute sur des conclusions erronés .  Ciel , vous êtes donc hyperactif . Pourtant vous êtes si sage en ma compagnie . Je me rapelle encore d'un garçon aux yeux bandé dans mon bureau qui ne bougeait point quand je mettais mon kimono . C'est que mon manoir vous rend très calme .

S'exclama t-elle en riant . " Je suis une vrai sorcière , et mon bureau dot receler toute ma magie pour pouvoir vous garder calme ainsi " . Puis elle se tut , l'écoutant parler sur sa jalousie qui ne cessait de le dévorer si bien qu'il voulait la garder enfermer auprès de lui . Nuit et jour . Et Ririchyo aima ses dires .

- Mais vous ne le ferez jamais car vous aimez me voir libre tout comme j'aime vous voir libre . Malgré mon envie de vous garder jour et nuits à mes cotés . Je suis bien heureuse de savoir que nos désirs sont similaires , c'est très satisfaisant de savoir que je ne suis pas la seule à vouloir vous torturer par ma présence à vos cotés .

Puis Ciel s'avança , et commença alors à parler de manière assuré des sentiments de Ririchyo . Elle n'eut pas honte de le regarder droit dans les yeux . Elle avait l'impression de lui avoir lancé un défi risqué , mais Ciel le réussit haut la main . Sa main sur son épaule , remontant doucement et la faisant frémir . Ririchyo avait l'impression que par ce geste , elle avait une description aussi bien physique que mentale de l'amour qui la saissisait et parcourait tout son corps . Un pouce sur les lèvres , et Ririchyo rougit mais ne baissa pas le regard . Après tout , elle voulait que Ciel voit ce qu'il pouvait provoquer en elle et qu'il admire son oeuvre .

- Vous vous dites un piêtre analyste mais le portrait que vous avez dressé de mes sentiments ne peut-être plus exacte . Quoi que vous avez oubliez les frissons qui parcours mon corps de tant à autres , mon regard sur vous et tant de chose et de pensées que je peux avoir .

Non , elle n'avait aucune honte à lui dire ce qu'elle ressentait à cet instant précis . Après tout il s'était aventuré sur un terrain en plus d'être dangereux qui était très vaste . Oui , l'amour qu'elle avait pour lui était bien plus que cela . Puis , Ciel se plaignit de ne pas savoir . Elle posa son regard sur lui . Elle comprenait ce qu'il voulait dire

- Il y a tant à savoir , tant à entendre et à dire , Ciel . Je n'aurais jamais le temps de tout vous dire . Il me faudrait une seconde vie , où je vous expliquerai tout mes désirs , toutes mes envies . Si , vous voulez m'enfermer dàs cette cage dorée , moi je veux pouvoir vous épuiser , rester à vos cotés , vous parler , vous empêcher de fermer l'oeil par tout les moyens . Eveiller vos sens et vous montrer ce qu'il est dure d'aimer . J'aimerai vous communiquer mon amour , mais il est si grand qu'il serait dure de le faire rien qu'avec la parole . Bien des baisers seraient nécessaires . Et bien des pièces

Dit-elle en souriant alors . Puis Ciel parla aussi de son manoir , c'est vrai qu'ainsi cela ferait beaucoup de baiser , mais elle devait se l'avour , elle ne s'en lasserait jamais de savoir Ciel si près d'elle échangeant ainsi ses sentiments

- Oh , grands dieux . Ne me parlez pas de ces chats . Bien que je ne les déteste pas , beaucoup d'entre eux se faufilent dans les couloirs la nuit pendant que je me promène dans la cuisine et me font peur .

Elle rit aussi , puis tout changea . Soma , Chelsea , les calèches . Elle dut alors monter , elle sentait un petit noeud se faire dans son estomac mais fort heureusement il se délia au toucher de Ciel . Monter dans cette calèche à ses cotés étaient ce dont elle avait besoin . Elle avoue pour la première fois de sa vie .

- Je suis terrifiée




Soma monta , loin d'imaginer que Sullivan entrait dans la liste des gens qui voulaient le tuer . Elle se faisait un peu trop longue . Mais il pensait surtout à ce qu'il pourrait faore à Ririchyo durant leur séjour à Chelsea et il écouta Emily raconter da vie d'une oreille distraite

Dernière modification par natsuuko (2015-08-02 12:10:02)

Julietta fut rassuré par ses dires , elle monta dans la calèche plus calmement , puis se tut durant le trajet qui parut si cours . Elle descendu alors de sa calèche et monta des escaliers , elle observa des hommes qui gardaient la porte . Elle les en remercia avant d'entrer , ils furent surpris et ils lui souhaitèrent une bonne soirée . C'est alors qu'en arrivant comme dans tout les bals , quand elle entra on donna son rang

- Julietta visconti di modrone , duchesse d'italie .

Les regards se portèrent sur elle . Et Marc arriva alors et lui tendu la bras qu'elle prit en souriant . " Merci , Marc . Je vois que vous avez donné tout mes renseignements " dit-elle tout en redescendant les marches à son bras .

- Oui , je ne voulais pas que l'on vous acceuille comme une roturière . Comprenez . Et je dois vous le dire , vous êtes bien plus jolie dans ces habits . Mais même si on vous fait la cours , n'oubliez pas que vous me devez une danse .

Il porta alors son regard sur Roméo " Vous l'avez emmené " Julietta sourit alors " Je ne me sépare pas de Roméo . De plus , je ne compte pas rester avec vous toute la soirée . Vous parlez italien couremment et vous pouvez dialoguer avec moi mais ce n'est pas le cas de tout le monde dans la salle . " . Marc s'imaginait qu'il ne pourrait se séparer de lui .

- J'ai entendu dire que l'on se dispute votre main dans nombreux pays . De plus , nous sommes tous plus ou moins dans cette salle de lignee royale . Qui sait , peut-être pourriez-vous choisir ou vous trouver un mari , ici ?

Julietta regarda autour " Merci pour vos conseils , Marc mais vous qui savez tout de moi . Je ne sais rien de vous . "

- Je ne suis rien d'autre que le petit frère d'un roi . J'ai ètè nommé duc . Nous avons donc le même titre mais j'ai en plus l'argent d'un prince .

Il commença alors à danser . Par chance malgré sa traine , Julietta restait doué en danse

Roméo retient un sourire quand Julietta remercia les gardes de la porte, qui semblèrent très surpris. Personne de son rang ne devait daigner les remercier. On annonça son prénom complet, qui faisait plutôt de l'effet, et Marc accourut presque immédiatement. Roméo ne l'aimait décidément pas. Il lui rappelait déjà qu'elle lui devait quelque chose, il la courtisait à peine trente seconde après on entrée. Roméo soupira. mais il jubila quand il vit que sa présence contrariait Marc. Tant mieux. Il hocha la tête

- C'est exact, je suis son traducteur. Vous avez beaucoup d'invité à aller voir, alors nous ne vous monopoliserons pas plus que nécessaire

Vient ensuite la fameuse demande en mariage à peine voilée. Roméo l'avait vu venir à 100 kilomètre, ses intentions étaient très claires... Il ne savait pas si Julietta l'avait compris, la connaissant, non, même si elle n'était pas bête. Marc leur appris qu'il était petit frère d'un roi. Il ne pouvait rivaliser avec les demandes en mariages de futurs rois, lui ne serait à jamais qu'un prince. Mais bon, ça ne voulait pas dire qu'il n'était pas un candidat que les parents de julietta allait éliminé...malheureusement.

- Très intéressant.



Abbadon commençait à a en avoir marre d'être frapper et traité de tout les noms. il esquiva donc son coup de pied, et immobilisa ensuite ses poignets, le regard très noir. Mieux valait pour elle qu'elle arrête tout de suite.

- Cela suffit! J'avais mes raisons. Je voulais en être sur avant de vous en parler, mais je me demande vraiment pourquoi je me donne du mal pour quelqu'un comme vous, qui ne connaissez pas le mot reconnaissance, ni gentillesse. Vous mériteriez que je mange votre âme sans tenir mon contrat, mais je suis un démon de parole, et je vous servirais. Je ne peux en dire autant de vous, vous êtes aussi femme d'honneur que je suis hétéro.

Elle l'insulta encore, et il accentua sa pression sur ses poignets.

- La France est juste en dessous de l'Angleterre. Nous commencerons par là.

Il la lâcha ensuite.

Ciel utilisait tout le monde. Il savait encore qu’aujourd’hui il saurait le faire sans aucun remord. Il était comme ça au plus profond de lui, et n’arrivait même pas à s’en vouloir ou à ressentir quelconque déception à son égard. La seule et unique chose qu’il regrettait était d’avoir utilisé Ririchyo. Enfin, à l’époque, il ne le regrettait pas mais à présent oui. Ca ne l’empêchera cependant pas de continuer pour les autres. C’était une sorte d’habitude.

Alois avait été imperméable à tout. A ses manipulations comme à Ririchyo, cet homme était un vrai mur impénétrable, et même si Ciel aurait aimé briser ce mur et le faire s’écrouler sur lui, il n’avait malheureusement jamais recroisé Alois. Ah, comme il était mauvais.
Est-ce que Ciel serrait retourné en arrière s’il le pouvait ? Aurait-il choisit de sauver sa famille ou rester dans le présent pour Ririchyo ? Il ne savait pas. Encore heureux ce dilemme ne servait à rien, la chose étant impossible.

- Je ne me satisfais pas de grand-chose, Ririchyo. Une victoire me donne soif d’une autre, c’est un cercle sans fin. Je suis un homme qui n’est jamais satisfait. Cependant, les seules défaites que j’autorise sont celles provoquées par vous, car elles sont douces et sucrées. Et qui ne sait pas que j’adore ce genre de pâtisseries ?

La conversation tournait au culinaire, ça amusa énormément Ciel qui eut soudain envie d’un dessert. Cela faisait trop longtemps qu’il n’avait pas fait plaisir à son palais.

Voir Alluka avait réveillé l’enquêteur en lui, aussi se mit-il à y penser.

Le travail de Ciel était méconnu de tous, excepté des proches de la Reine, de Scotland Yard et des quelques personnes de son propre entourage. Personne n’avait cependant une vraie idée du pourquoi du comment. Même si son père, Vincent Phantomhive, était l’ancien chien de la Reine, pourquoi avait-elle mit un enfant à ce poste bien que ce soit l’héritier ? Ciel lui-même n’en avait aucune idée. 

Dire que Ririchyo connaissait beaucoup de lui était juste. Mais malgré ces petites années d’existences il y en avait beaucoup à dire, malheureusement.

Ciel, lui ne changeait pas les vies mais cherchait à comprendre comment elles s’étaient arrêtées. Lui et Ririchyo, c’était vraiment le noir et le blanc.

- Vous n’en avez pas idées, nous serions excellents.

Cela lui plairait bien d’élucider des crimes à ses côtés. Mais connaissant sa phobie pour le sang, il préférait la garder à l’écart de tout cela. Sachant que lui-même avait tendance à tourner de l’œil, il n’imaginait pas la réaction de Ririchyo. 

- Il n’y a qu’un meurtrier qui peut comprendre un meurtrier.

Il venait de dire ce qui Ririchyo pensait au plus profond d’elle. Ciel n’avait pourtant aucun problème avec ça, un sourire suivant même ces mots. « Si vous pensiez cela sachez que c’est totalement vrai, ainsi que logique. »

Ils changèrent de sujet, celui-là devenant un brin sordide, pour quelque chose de plus léger bien qu’il troublait le jeune Ciel. Ne surtout pas dire qu’il avait en partie vu.

Il était calme et patient ? Peut-être l’avait-il été en façade mais à l’intérieur de lui un véritable remue-ménage s’était installé dans son estomac. Il s’était mis à réfléchir à tout et n’importe qu’à la seconde où ses fesses avaient touché la surface de la chaise.

- Je ne suis pas vraiment … Patient.

Par contre la patience de garder Ririchyo enfermée et de rester avec elle, ça, il l’avait. Mais comme il le disait un papillon ne pouvait être enfermé en cage, pas plus que le ciel d’ailleurs. Il lui donna raison. «Au moins le papillon et le ciel resteront toujours ensemble … J’ai une impression de déjà vu ! » Il rit, repensant à cette longue discussion dans le manoir de Ririchyo.

Repenser à ce moment attisa encore le feu en lui. Il aurait bien aimé connaitre les pensées de Ririchyo, juste par curiosité, mais se ravisa, soulageant sa santé mentale. Enfin, la soulager d’une chose malgré toutes les autres.

Tic. Tac. Tic. Tac. Il était fort probable qu’ils ne creusent cependant jamais plus loin. Ciel ressentait en lui que la fin était proche, la chute de l’histoire. Il n’était cependant pas vraiment déçu, la relation qu’il avait avec Ririchyo lui suffisant.

- Vous aurez la vie difficile si nous finissons menottés ensemble, Ririchyo ! Je ne pourrais supporter de ne pas traverser la pièce en long et en large pour calmer ces jambes qui ne cesseront de gigoter. Hyperactif ? Cela est fort probable.

Le son de l’horloge continua dans sa tête alors qu’ils étaient dans la calèche.

Si Ririchyo, elle, n’avait pas ses gants, Ciel n’avait lui plus sa canne. Il leva les yeux vers elle, un petit sourire ornant son visage alors qu’il le remarqua. Il espéra la faire rire un peu de cette situation. Il aimait cependant le fait que rien ne séparait leurs mains liées. Cette espèce de symbole lui fit chaud à son petit cœur froid.

Elle parla ensuite du manoir. Il se demanda si elle cherchait à se rassurer plus en parlant. Il fit passer son pouce sur le dos de sa fine main, la caressant.

- Ce n’est pas commun, j’aime bien ça.



Alluka s’était ainsi réinstallée près de son mari, son amour, son partenaire de torture et son démon centenaire (et elle trouvait ça très impressionnant.) Elle prévu donc de les attacher solidement l’un en face de l’autre pour qu’ils se redécouvrent sous leur plus beaux jours. Ah, oui, demain  serra un beau jour.

- Je compte bien les ridiculiser jusqu’au bout, et les torturer –non pas jusqu’à ce que mort s’ensuive, j’aimerai pour eux une fin plus tragique- psychologique et physiquement. Il ne faudrait pas aller trop vite ce serait bien dommage.

Elle imagina ensuite un beau final pour le meurtre de ces deux jeunes gens. Elle pendrait Elspeth au balcon et forcera le Roméo à lui parler, même si il aurait surement la tête dans la boue et du mal à parler. 

Alluka se mit à rire sans plus pouvoir s’arrêter. Puis elle vit le manoir, ce qui la fit se coller à la fenêtre et pousser des glapissements impatients.



Elle s’arrêta net lorsqu’il lui parla d’aller dans un autre pays. La bouche en forme de « o », les mains en l’air prêt à frapper, on aurait dit une statue de cire. Puis la mécanique de son cerveau se remit en marche et elle se mit à sautiller dans tous les coins.

Sullivan avait toujours voulu quitter ce pays pour d’autre horizon (et d’autres beaux garçons – ou filles hein, elle n’en avait que faire en fait. Oui, après elle traitait son démon de pédale. Chuuuut) Elle se mit à câliner soudainement son démon. A le prendre pour un chien, oui.

- Et bien alors … Qu’es ce qu’on attend pour embarquer, pédale de mon cœur ?

Dernière modification par ornelle (2015-08-03 14:58:17)